Etude sur la santé mentale des enfants et des jeunes haut-alpins
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En 2023, les ménages français les plus pauvres paient en moyenne 715 € plus cher par an l’accès aux mêmes biens et services que les consommateurs médians. Cette double peine accentue la précarité de ces ménages modestes, dont les dépenses sont déjà contraintes par le contexte inflationniste.
Pour recevoir l’étude ou sa synthèse dans votre boîte mail, cliquez sur les boutons rouges ci-après !
La double peine moyenne est estimée à 715 € par an pour les ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie, soit 10 semaines d’approvisionnement alimentaire. 90 % de ce montant est concentré sur cinq postes de dépense : le loyer, les charges et l’énergie, la mobilité, les assurances et les emprunts.
Ce chiffre masque cependant de fortes disparités de profils et de situations : pour 1 million de Français·e·s (soit 8% des ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie), la double pénalité représente plus de 1 500€ par an, soit un montant deux fois plus élevé que la moyenne.
Pour certains postes de dépenses, des mécanismes de soutien existent afin de réduire les dépenses des ménages les plus modestes. Cependant, il existe d’autres leviers qui pourraient être activés par les secteurs public et privé pour minimiser la double peine.
Cette 3ème édition de l’étude repose sur une étude méthodologique inédite combinant un volet quantitatif réalisé par le BCG et l’Action Tank et un volet enquête réalisé par OpinionWay et l’Action Tank :
Pour plus de précisions sur la double pénalité de pauvreté, vous pouvez parcourir notre édition 2022 ainsi que notre édition 2011.
En 2023, les ménages français les plus pauvres paient en moyenne 715 € plus cher par an l’accès aux mêmes biens et services que les consommateurs médians. Cette double peine accentue la précarité de ces ménages modestes, dont les dépenses sont déjà contraintes par le contexte inflationniste.
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La double peine moyenne est estimée à 715 € par an pour les ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie, soit 10 semaines d’approvisionnement alimentaire. 90 % de ce montant est concentré sur cinq postes de dépense : le loyer, les charges et l’énergie, la mobilité, les assurances et les emprunts.
Ce chiffre masque cependant de fortes disparités de profils et de situations : pour 1 million de Français·e·s (soit 8% des ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie), la double pénalité représente plus de 1 500€ par an, soit un montant deux fois plus élevé que la moyenne.
Pour certains postes de dépenses, des mécanismes de soutien existent afin de réduire les dépenses des ménages les plus modestes. Cependant, il existe d’autres leviers qui pourraient être activés par les secteurs public et privé pour minimiser la double peine.
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En 2023, les ménages français les plus pauvres paient en moyenne 715 € plus cher par an l’accès aux mêmes biens et services que les consommateurs médians. Cette double peine accentue la précarité de ces ménages modestes, dont les dépenses sont déjà contraintes par le contexte inflationniste.
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La double peine moyenne est estimée à 715 € par an pour les ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie, soit 10 semaines d’approvisionnement alimentaire. 90 % de ce montant est concentré sur cinq postes de dépense : le loyer, les charges et l’énergie, la mobilité, les assurances et les emprunts.
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Pour certains postes de dépenses, des mécanismes de soutien existent afin de réduire les dépenses des ménages les plus modestes. Cependant, il existe d’autres leviers qui pourraient être activés par les secteurs public et privé pour minimiser la double peine.
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En 2023, les ménages français les plus pauvres paient en moyenne 715 € plus cher par an l’accès aux mêmes biens et services que les consommateurs médians. Cette double peine accentue la précarité de ces ménages modestes, dont les dépenses sont déjà contraintes par le contexte inflationniste.
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La double peine moyenne est estimée à 715 € par an pour les ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie, soit 10 semaines d’approvisionnement alimentaire. 90 % de ce montant est concentré sur cinq postes de dépense : le loyer, les charges et l’énergie, la mobilité, les assurances et les emprunts.
Ce chiffre masque cependant de fortes disparités de profils et de situations : pour 1 million de Français·e·s (soit 8% des ménages des 2 premiers déciles de niveau de vie), la double pénalité représente plus de 1 500€ par an, soit un montant deux fois plus élevé que la moyenne.
Pour certains postes de dépenses, des mécanismes de soutien existent afin de réduire les dépenses des ménages les plus modestes. Cependant, il existe d’autres leviers qui pourraient être activés par les secteurs public et privé pour minimiser la double peine.
Cette 3ème édition de l’étude repose sur une étude méthodologique inédite combinant un volet quantitatif réalisé par le BCG et l’Action Tank et un volet enquête réalisé par OpinionWay et l’Action Tank :
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3 files to download :Synthèse – Etude Double pénalité de pauvreté 2023Volet enquête – Etude Double pénalité de pauvreté 2023Volet quantitatif – Etude Double pénalité de pauvreté 2023